J’ai du mal à m’en remettre même si, comme vous tous, j’ai deviné très vite l’issue fatale avec tout ce courrier qui s’amoncelait derrière la grille depuis des semaines et des travaux invisibles.

Aujourd’hui, j’oscille entre rage et tristesse de voir cette Maison du Livre désormais fermée. En plus, ça fait ma deuxième maison de la presse que je perds après celle de la rue Pauvrée. 😦

Francis, j’espère que tu vas bien, là où tu es. On est de tout coeur avec toi.
Grosse pensée pleine de tendresse pour Nathalie, et les autres.